Par Guillaume Bernard, le 26 avril 2021
En février 2020, des centaines de mails et des dizaines d’appels publicitaires parviennent soudainement au Comité contre les violences policière lyonnais. Soupçonnant une intimidation policière, ce dernier dépose une plainte en juillet. La Police Judiciaire finira par confirmer cette intuition : l’adresse IP à l’origine de l’acte malveillant provient bien du ministère de l’Intérieur. Pourtant, l’enquête n’aboutira pas et le Comité s’interroge alors sur le rôle du parquet dans cette affaire. Lire l’article